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Transidentités

"TRANS", préfixe latin fréquemment employé pour exprimer l'idée de changement, de traversée, de passer d'ici à là.

TRANSPARENTS

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Transidentité(s), transgenre, intergenre, non-binaire, agenre, intersexuation, autres...

Si vous êtes connecté sur le site de TRANSPARENTS, probablement est-ce parce qu’un de ces sujets concerne un de vos proches ou vous-même. Ou, peut-être, êtes-vous juste intéressé à comprendre, à vous informer, à évoluer.

En mettant à disposition un premier niveau d’informations, TRANSPARENTS souhaite apporter de la compréhension. A chacun de prendre ce qui peut lui être utile, selon ses propres besoins et ses croyances.

“TRANSGENRE”, de quoi parlons-nous ?

Au fil du temps, le vocabulaire trans s’est étoffé sous l’influence des évolutions sociétales, des débats menés par les communautés trans, associatives et scientifiques. Le mot générique « transidentité(s) », souvent utilisé au pluriel, semble être aujourd’hui le trait qui unit volontiers toutes les identités de genres (binaires, non-binaires et autres), représentées par des parcours individuels hétérogènes. Un mot plutôt troublant pour le grand public. Un mot qui se veut positivement inclusif, tout en suscitant de la confusion entre, d’une part, les personnes concernées par la variance de genre qui s’impose à elles, binaire et non-binaire et, d’autre part, l’idéologie de genre, source de nombreux débats, voire de déferlements de propos haineux affligeants, déshumanisant notre société déjà bien en difficulté sur d’autres plans. Une confusion, dès lors, sciemment entretenue par ces discours activateurs de peurs, promouvant eux-mêmes ce qu’ils dénoncent : une idéologie et des croyances. Un poids supplémentaire pour les familles et les personnes concernées qui souhaitent avant tout une vie paisible, comme tout un chacun, une place sécuritaire dans la société, comme en appelle chaque citoyen.

“Etre transgenre” est donc un des visages des transidentités. C’est, pour les personnes dites binaires, se reconnaître dans le genre opposé à celui attendu par la société (masculin/féminin) selon le sexe biologique attribué à la naissance (mâle ou femelle). Dans le milieu médical, d’autres mots sont utilisés comme, par exemples : « variance de genre, dysphorie du genre, incongruence de genre ». Quel que soit le nom, ce sujet n’est plus considéré comme une pathologie psychiatrique depuis 2010, en France, mais bien comme un besoin vital et existentiel de changement et d’affirmation d’un genre pour la personne qui l’exprime. Portée par une quête fondamentale et inconditionnelle d’être reconnue dans l’autre genre (pour les personnes binaires), la personne concernée recherche l’harmonie entre la manière dont elle se ressent et se comporte d’une part, et son apparence physique d’autre part. Aussi, afin d’y parvenir, choisit-elle d’entreprendre, bien souvent, un parcours de « transition », dont les étapes seront fonction de ses besoins.

Au cours de ce parcours de transition, il peut être question d’hormonothérapie, d’actes de chirurgie esthétiques, voire de chirurgie de « réassignation ou de confirmation » de genre. Certaines personnes souhaitent emmener au plus loin ce changement, en nourrissant l’espoir d’un « bon passing », c’est-à-dire d’une apparence satisfaisante pour elle, recevable par la société, afin de se vivre pleinement dans le genre désiré. D’autres préfèrent ajuster leur parcours à leurs perceptions, peuvent vouloir se revendiquer en tant que « personne trans » ou pas etc : « A chacun(e) de se définir », selon un principe, celui de ” l’autodétermination individuelle “.

Au-delà des mots...

Au-delà des mots, il est question de vies, celles des personnes directement concernées en premier lieu, de leur entourage également. Et aussi, d’émotions, d’humanité.

Il est question de la vie d’une personne qui se sent profondément mal dans le genre assigné à sa naissance.

Elle endure – bien souvent – des souffrances morales et physiques fortes, endogènes et exogènes, sans toujours pouvoir faire le lien entre celles-ci et leur cause – un temps donné -, ce qui accentue aussi ce mal être. Car être une personne transgenre n’est pas un choix, une mode, une lubbie. C’est une nécessité, une réalité, une tragédie pour certain(e)s.

Difficile pour cette personne d’être en vérité avec soi et les autres, transparente avec l’entourage face à ses peurs, à la peur du rejet notamment. La parole est parfois longtemps retenue, voire travestie en mensonge. Les êtres aimés sont l’enfer tout autant que le paradis.

Impossible, pour elle, d’accepter les freins qui se mettent en travers de son chemin – famille, amis, médecins, procédure, délais etc. -, parfois hautement combattus. Des sources de conflits potentielles au sein d’une famille, de fuite et d’isolement de la personne concernée, de mise en danger, sur-aggravant le mal-être et dégradant plus encore les relations.

Effrayant aussi, certainement, de craindre ne jamais – peut-être – parvenir au but ultime, tellement dépendant du regard et des attitudes des autres ! Un besoin de confrontation pourtant incontournable pour se (re)construire, en dépit des appréhensions et des risques. 

Une vie d’efforts – parfois de lutte. Un exceptionnel courage aussi. Une force de vie.

Au-delà, il s’agit, aussi, de la vie de familles et de proches au mieux déstabilisés, le plus souvent choqués, effondrés face à ce fait méconnu qui s’impose à eux, submergés d’émotions diverses et de questionnements en tous sens. 

Leurs pensées circulent de l’être aimé qu’ils souhaitent protéger, vers cet autre individu, un inconnu pensent-ils alors.

Ils interrogent l’origine, leur responsabilité, leur capacité à accepter, la complexité du sujet, la relation, la possibilité de continuer à aimer : « De quoi s’agit-il ? Pourquoi ? Depuis quand ? Comment être passé à côté ? Y suis-je pour quelque chose ? Est-ce bien là, le sujet ? Quel sera son avenir ? Quelles conséquences sur sa santé physique et mentale ? Sera-t-il(elle) plus heureux(se) après ? S’il(elle) se trompe ? Comment le(la) soutenir ? Comment s’inscrira-t-elle (il) dans la société ? Acceptera-t-elle (il) leur aide, leur présence ? Continuerons-nous à faire partie de sa vie et comment ? Quelles répercussions cela aura-t-il sur le reste de la famille, les amis ? Etc ».

Les projections, quant aux épreuves futures probables, affolent. Le regard des autres envers les personnes trans est, pour eux aussi, un point d’achoppement. Il est encore souvent dur, peu empathique. Et cela, bien que l’on observe une ouverture des consciences, une note d’espérance, sous l’influence de changements de paradigmes profonds – mariage pour tous, nouvelles formes de parentalités etc -, de documentaires, de témoignages à visage découvert apportés par des personnes trans et/ou leur entourage. Toutes ces interrogations sont bien légitimes et perdurent longtemps pour certaines d’entre elles.

Néanmoins, aujourd’hui, une fois les temps de sidération et de déni dépassés, il est observé que beaucoup plus de familles et de proches, avant tout soucieux du bien-être de l’être cher – un enfant, un père, une sœur, un époux, un. e ami.e etc – se mobilisent et nourrissent l’espoir d’un futur plus épanouissant lorsqu’ils comprennent que c’est ainsi. Peu de réponses possibles en l’état des connaissances sur le sujet. Juste accueillir, s’informer, soutenir comme par exemple : accompagner le changement de prénom et de pronom. Une étape sensible, compliquée pour les familles et les proches, mais cruciale et indispensable pour avancer. La relation entre tous peut s’en trouver améliorée, tout comme la vie de la personne concernée.  

On ne choisit pas d’être une personne trans, on l’est. Certes, ce proche – mineur ou adulte – évolue d’une manière inattendue, différente des projections et de la norme. Mais ce changement d’apparence ne modifie en rien les qualités de la personne, le fait qu’elle demeure quelqu’un de respectable, d’aimable à part entière, avec une place parmi la société qu’elle ne devrait pas avoir à revendiquer.

Une question est souvent posée par la famille d’une personne trans : ” vais-je devoir faire le deuil de mon enfant/proche, toujours dans mon cœur ? “. D’autant lorsque la personne qui transitionne exprime de toutes ses forces souhaiter oublier cet être et son passé ! TRANSPARENTS pense que chaque émotion et besoin devrait pouvoir trouver sa place, avec respect. Par exemple, pour les parents, les deux personnes peuvent coexister. L’une dans le souvenir, l’autre au quotidien, à l’instar de tous les parents dont les enfants grandissent et changent sous leurs yeux. Naturellement, pour ces derniers, cette évolution est progressive, douce, indolore d’ordinaire. Quant à l’enfant accompagné, il garde à ses côtés – s’il le souhaite – un père, une mère avec le même amour, voire plus encore.

Donc, s’agissant du “deuil” au sens de la psychologie, il s’agirait plutôt de faire le deuil des projections nourries inhérentes au genre. Généralement, l’entourage s’ajuste, puis s’adapte. Un gage de mieux-être pour toute la famille. Une évolution au combien nécessaire et utile à la personne qui transitionne, face au parcours qui s’annonce,. Car, impossible pour elle de porter le sac de l’entourage, en plus du sien, quand bien même elle le souhaiterait.  

Nos convictions

TRANSPARENTS célèbre le courage des personnes trans, encourage ceux qui les accompagnent, communie avec les parcours de mineurs, jeunes majeurs et adultes vivant la transidentité dans leur chair, quelles que soient leurs trajectoires de vies et les mots qui les définissent. 

TRANSPARENTS se joint aux personnes concernées, aux familles et aux proches lorsqu’ils expriment l’incompréhension, la colère et la détresse, les peurs et les doutes, l’impuissance et le désarroi, la crainte du rejet et de la violence. Nous espérons qu’en cheminant tous ensemble, dans l’accueil des rythmes et des convictions de chacun quelles qu’elles soient, de la manière la plus transparente et bienveillante possible, de moins en moins de personnes vivront le désespoir.

Si familles & proches se rendent plus visibles, les parcours des personnes concernées mieux soutenues seront facilités à tous points de vue. Un jour viendra – souhaitons-le – où elles vivront une vie publique avec simplicité, celle de tout le monde, si c’est ce qu’elles souhaitent. Une vie ordinaire en somme, pour des personnes extraordinaires ! Elles méritent leur place dans la société autant que d’autres, sinon plus, car qui aspirerait à assumer les difficultés d’une vie trans (?).

Certainement assistons-nous, déjà, au début d’une ère nouvelle pour les personnes concernées, comme cela a été le cas, ces dernières années pour d’autres « différences », malgré bien des difficultés encore. Plus visibles, donc plus nombreuses de fait, elles devraient être encore mieux accompagnées et socialement intégrées. Cependant, aujourd’hui, les professionnels de la santé et du social – trop peu nombreux et insuffisamment assurés sur le sujet – ont encore à se former, toutes compétences confondues. Le déséquilibre de positions constaté parmi eux ajoute forcément un malaise au mal-être. Les études et recherches sont à développer également.

TRANSPARENTS félicite certains documentaires sur l’identité de genre qui sensibilisent le grand public, éveillent les esprits, secouent les croyances, ouvrent les cœurs, tout en allégeant la culpabilité des personnes concernées et de leur entourage. La transidentité serait aujourd’hui « un sujet générationnel, une opportunité culturelle » selon des spécialistes. Après l’écologie, le genre serait le second sujet de préoccupation des ados et jeunes adultes, plus autorisés qu’hier à réfléchir sur leur identité, mieux informés, plus ouverts. Les reportages et articles sont nombreux ces dernières temps. Veillons cependant à ne pas susciter ainsi des effets contraires à ceux espérés, en donnant l’impression que nos enfants et nos proches ainsi exposés, mériteraient d’être sauvés d’une mauvaise influence, celle de parents irresponsables et de professionnels de santé interventionnistes.

En quoi la biologie serait-elle déterminante sur le ressenti cérébral et le développement comportemental en tant que « mâle ou femelle » ? Les attendus des genres « masculin et féminin » ne sont-ils pas des projections mentales construites et propres à chaque civilisation ? 

Cela dit, faut-il pour autant adapter le genre comme sont adaptés les lieux publics au handicap et aux non-fumeurs ? Un genre neutre à l’état civil au côté des deux autres, pourquoi pas, en signe de reconnaissance. Mais, ne serait-ce pas une case de plus dans l’espoir de se détourner des stéréotypes ? Est-il souhaitable de gommer totalement le genre, de ne plus en faire mention nulle part, y compris dans le pronom personnel ? Faut-il aller aussi loin, voire plus loin encore ? Jusqu’à renier la binarité des genres et souhaiter réinventer une société nouvelle : une réflexion engagée qui dépasse, de loin, l’individu, ses souffrances et son besoin !? Est-ce le sujet pour l’heure ?

Parallèlement à ces questionnements, il y a aussi la réalité des personnes dites cisgenres, vivant bien leur genre de naissance, manifestant le besoin de s’identifier et de se construire clairement selon cette binarité ! Doit-on les en priver ?

Au fond, quels que soient les mots, les apparences, les débats, il est clair que chacun a à coeur de trouver sa place tel qu’il.elle.iel.le se vit, minorité ou pas, avec respect, sans primauté. TRANSPARENTS rêve ! La solution est bien sûr en chacun de nous. De la tolérance avant tout ! Rien de bien nouveau au fond. Juste un éternel idéal, naïf semblerait-il (!?).

Rôle des familles et des proches

Pas de recette toute prête !

Malgré des traits communs, chaque situation vécue est singulière, en fonction de l’âge, du milieu personnel et social, du parcours de vie, du pays, du lieu d’habitation, de la manière d’être et de se vivre en tant qu’individu etc. Par conséquent, l’accompagnement par/pour l’entourage est tout autant spécifique. 

Dans les notes qui suivent, à chacun d’évaluer ce qui pourrait paraître aidant pour améliorer le quotidien, ouvrir des perspectives. Ces enseignements sont issus d’expériences et de témoignages des familles.

Accueillir et accepter ce fait

On ne choisit pas la transidentité, on la vit.

Apprendre, pour évoluer tous ensemble

Personne n'est spontanément prêt, ni préparé.

Accompagner avec neutralité et humilité

Du soutien concret et de l'indulgence entre tous.

Des changements clés

En France, depuis une dizaine d’année, pas-à-pas, des actes fondateurs ont contribué à faire évoluer les perceptions et l’accompagnement des personnes concernées, mineurs et majeurs.

La route est très loin d’être parfaite, certes, mais elle est ouverte. Même si, pour les personnes concernées et les familles, ces évolutions sont trop timides et prennent bien trop de temps face, notamment, à l’urgence intérieure endurée depuis fort longtemps pour bon nombre de personnes concernées adultes. 

Des avancées sont à noter, sur le plan social, médical et juridique. Les prochaines années peuvent laisser entrevoir des progrès supplémentaires dans l’accompagnement et la reconnaissance de ce que vivent les personnes transgenres, mieux accompagnées, notamment par des professionnels de santé de plus en plus qualifiés, aujourd’hui en nombre insuffisant, et selon des modalités partagées et homogènes.

Sur le plan médico-psychologique
Sur le plan juridique

GLOSSAIRE

Le sujet des transidentités a connu d’importantes évolutions avec, aujourd’hui, une pluralité de parcours individuels et collectifs, et un vocabulaire nouveau pour beaucoup, floutant la compréhension et compliquant la communication. 

Afin d’éviter à chacun un travail de recherche fastidieux mais nécessaire, et par souci de clarté entre ses membres, TRANSPARENTS propose un glossaire des termes les plus courus, sans prétention de vérité. En retenir l’esprit et l’enjeu sous-jacents contribue à la compréhension, aux échanges, aux rapprochements entre tous.

Ces définitions, simples, sont le fruit de différentes lectures et d’échanges. Elles n’engagent que leurs auteurs au sein de TRANSPARENTS. Elles sont possiblement évolutives.

Souligne et regroupe la diversité des identités de genres et des parcours individuels très hétérogènes, non binaires : genre fluide, transgenre, androgyne, inter genres, agenre, pangenre etc. Terme souvent utilisé au pluriel pour traduire la pluralité de ces cheminements, et par souci d’inclusion de toutes ces diversités.

Parler de transidentités, c’est mettre l’accent sur l’identité sociale plutôt que sur la sexualité, à la différence du terme « transsexualités » antérieurement utilisé.

Personne se reconnaissant le plus souvent dans le genre opposé à celui assigné à sa naissance (personnes transgenres binaires).

Exprime donc une dichotomie entre le sexe biologique (mâle ou femelle) d’une part, et l’identité de genre psychologique et sociale (masculin ou féminin) d’autre part. La personne transgenre peut se tourner vers l’hormonothérapie et/ou la chirurgie pour se rapprocher du genre revendiqué, s’y fondre pleinement ou souhaiter s’afficher en tant que personne transgenre.

Il est respectueux de parler d’une « personne transgenre » plutôt que « d’un.e transgenre ».

Abréviation empruntée au langage anglosaxon « female-to-male ».

La première lettre parle du genre de naissance « Femelle » en biologie ou « Féminin » pour l’état civil. La seconde indique une direction. La troisième parle du genre souhaité par la personne trans « Mâle » en biologie ou « Masculin » pour l’état civil.

Terme apparu dans les années 2000 en France. L’usage traditionnel définit le genre en tant qu’identité psycho-sociale attendue d’une classe d’individus (ex : « masculin » ou « féminin »). Le genre « social », le genre « anatomique » et le genre « psychologique » ne seraient pas nécessairement congruent entre eux.

L’identité de genre désigne donc, chez un individu, la construction des subjectivités auxquelles il se raccorde et qu’il souhaite afficher. Aussi, pour les courants transidentitaires, le genre relèverait du libre déterminisme et serait « auto-déclaratif » : seule la personne concernée serait à même de définir son identité de genre selon la manière dont elle se ressent.

Abréviation familière, néanmoins acceptée, pour désigner toutes les personnes questionnant leur genre.

Ce terme, court et simple, limite le risque de maladresses pour parler de ces personnes, au regard de la diversité des parcours individuels et des dénominations existantes.

Abréviation empruntée au langage anglosaxon « male-to-femelle ».

La première lettre parle du genre de naissance, « Mâle » en biologie ou « Masculin » pour l’état civil. La seconde indique une direction. La troisième parle du genre souhaité pat la personne Trans, « Femelle » en biologie ou « Féminin » pour l’état civil.

L’usage traditionnel définit le sexe comme l’ensemble des caractéristiques anatomiques et fonctionnelles primaires – chromosomique, hormonal, génital -, concurrents également à la reproduction.

Il permet de différencier, généralement, les espèces animales ou humaines entre « mâles ou femelles ».

Qui se réfère au sexe « mâle ou femelle » auquel l’individu est identifié dès sa naissance par les autres.

Répond à la question : « qui suis-je ? », en comparaison à l’orientation sexuelle qui répond à la question : « par qui suis-je attiré ? ».

Issu du vocabulaire médico-psychologique, ce terme met l’accent sur l’identité sexuelle et semblait suggérer terme suggérer, dans le passé, une pathologie mentale. Il désigne une personne qui s’identifie de manière intense et persistante à l’autre sexe, souvent dans le rejet des organes génitaux d’origine.

Psychologisant et sources de confusions entre l’orientation du genre et l’orientation sexuelle, il est aujourd’hui écarté du vocabulaire Trans. Sensible à ces arguments, TRANSPARENTS n’utilise pas ce terme. Dans le vocabulaire médico-psychologique, il a été remplacé par d’autres : « trouble de l’identité », puis aujourd’hui « dysphorie du genre ». L’Association Américaine de Psychologie (APA) parle aussi « d’incongruence du genre ».

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Bibliodoc, pour approfondir...

TRANSPARENTS sélectionne et propose des informations fondatrices, utiles à la compréhension et à l’évolution des familles & des proches, comme à toutes autres personnes intéressées par la.es transidentité(s). Il ne s’agit pas de listes exhaustives, comme le font déjà très bien certaines associations LGBT+ à l’intention de leurs membres.

Cette rubrique évolue en fonction des informations que vous voudrez bien partager avec TRANSPARENTS. Chaque proposition est à présenter selon le modèle suivant svp :

  • Nom de l’article (du livre ou autre)
  • Bref résumé (5 lignes au plus) : le sujet ? En quoi retient-il votre intérêt ? En quoi a-t-il sa place sur le site de TRANSPARENTS ?
  • Lien internet éventuel.

Autres informations

Documentaires, expositions, films etc.

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  • consulter ces actions pour en bénéficier, en tant que personne trans ;
  • participer à faire vivre ce site par vos suggestions, coconstruire ensemble (ex : bibliodoc) ;
  • vous joindre aux temps de rencontre festifs ou autres qui pourraient être organisés ;
  • participer au fonctionnement de l’association elle-même, lors des Assemblées Générales notamment ;
  • montrer votre solidarité et l’intérêt de l’initiative en étant juste là.

Merci de contribuer à faire connaître largement l’association et son site au sein de votre propre réseau : bouche-à-oreille, mail, réseaux sociaux, environnement professionnel et personnel etc… Des flyers et affiches sont à votre disposition, sur demande.

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