Parcours de transition

Pour trouver des professionnels de santé formés et qualifiés, ayant une expérience dans la prise en charge de personnes trans, mineures et adultes, rien de bien évident. Et, souvent, de longs délais pour obtenir un premier rendez-vous. Cependant, voici quelques pistes : Le CHU proche de chez vous en premier lieu, voire d’autres plus éloignés […]

La chirurgie esthétique ou de réassignation de genre n’est pas obligatoire dans le processus de transition. Car chaque personne peut se donner des objectifs différents selon la manière dont il.elle.iel se ressent physiquement, comportementalement, socialement. Cependant, pour certaines personnes, la chirurgie peut être une partie importante de la transition. En effet, elle peut aider à

Pour accompagner, soutenir une personne en questionnement sur son identité de genre ou désireuse d’engager une transition de genre, voici quelques suggestions qui peuvent aider : Apprendre à connaître ce que signifie être transgenre, en prenant le temps de lire sur le sujet, de regarder des vidéos, d’écouter des témoignages, de rencontrer des personnes concernées

Il est important de comprendre qu’une transition de genre est un processus individuel et que chaque personne peut avoir des objectifs différents. Par exemple, certaines personnes peuvent choisir de suivre une hormone thérapie, mais ne pas subir de chirurgie, tandis que d’autres peuvent décider de faire une chirurgie de réassignation de genre. Certaines, très peu,

Les spécialistes de la santé reconnaissent avoir rencontré quelques personnes souhaitant revenir dans leur genre d’assignation ou se considérant plutôt non binaire. Mais les chiffres seraient très faibles. Selon les deux principales études menées au Royaume-Uni et aux Pays Bas, le taux d’arrêt des traitements hormonaux chez les jeunes serait au maximum de 2 %,

Une personne qui a commencé une transition de genre peut décider de stopper le processus si elle réalise que cela n’est pas la bonne option pour elle. Mais il convient de noter que certains aspects d’une transition de genre sont irréversibles, en tout ou partie. Par exemple, il est possible d’arrêter ou de modifier les traitements

Il n’y a pas de calendrier universel, ni de copié/collé. C’est un processus individuel, continu et évolutif qui peut impliquer une variété d’éléments, tels que la thérapie, les hormones, les interventions chirurgicales, la modification de l’apparence, les changements de nom et de pronoms, des ajustements sociaux et familiaux. Elle peut prendre beaucoup de temps, parfois

Si vous êtes préoccupé, en colère, choqué par la transition de genre d’un proche, cela peut paraître bien naturel. Mais il est, avant tout, important d’échanger avec la personne de manière ouverte et respectueuse pour comprendre ses motivations et ses besoins, si elle souhaite/peut les expliciter. Etre opposé radicalement, forcer la personne concernée à adopter

S’agissant d’un majeur, l’avis d’un psychiatre n’est pas obligatoire pour commencer une transition de genre. Cependant,  les professionnels de santé qui accompagnent la personne concernée peuvent souhaiter associer d’autres spécialistes, notamment un psychiatre. Par exemple, pour évaluer l’état général de la personne, sa capacité à faire face à un parcours complexe et douloureux. Et aussi,

Vous êtes proche d’une personne qui se questionne sur son identité de genre, et cela vous préoccupe ? C’est bien est naturel de s’inquiéter, de vouloir donner son avis et de contribuer. La transition de genre est un processus difficile et lourd en émotions, pour la personne concernée avant tout, et pour son entourage aussi.